Un vent de panique plane au-dessus de la Municipalité prise en flagrant délit de double langage dans le dossier du Brouaz
Mardi dernier 18h30, ce fut la grande rentrée du муниципальный совет, quoi????? tu ne comprends pas le russe????? Hé bein t'as plutôt intérêt à t'y mettre ainsi qu'aux bonnes vieilles méthodes bolchéviques, méthodes encore et toujours en vigueur dans notre belle cité de Namascae.
Lors de ce show, le maire Caius Dupesseyix, le vice-maire Borrelix, la vieille chouette qui siégera à présent au CCAS qu'avec des personnes qui lui voudront que du bien (t'inquiète, je t'expliquerai ça prochainement), le chef des comptes Zérozérosix, notre duo comique d'opposant Laurel et Hardy, l'adjoint au bétonnage et à la densification ainsi qu'un vermiceau naviguant tantôt à droite tantôt au centre de l'Opposition.
Après plus de 2h30 de présentation de projets à la façon soviétique, tu vois le genre, "Nous avons des projets ambitieux pour cette ville, ou encore je me réjouis de ceci ou cela, ou encore je suis entièrement satisfait car avant Namascae était une ville grise, depuis que nous sommes là elle a pris des couleurs, et blablabla....." alors que lorsque tu vis avec cette ville tu te rends compte de l'arnaque de tels propos, la séance du conseil débuta enfin.
Il faisait une chaleur épouvantable, la plupart des conseillers commençait à pencher du nez sur leur petite table, d'autres pour se maintenir éveillés s'amusaient avec leur téléphone quand ils ne jouaient pas au morpion.
Hé, c'est qu'il y avait plus de 24 points à l'ordre du jour portant directement un impact sur la vie des Citoyens de cette belle cité de Namascae : les prix du stationnement, Chablais-Parc avec ses nouvelles surprises urbanistiques, etc...........
Il était 22h00 lorsque nous abordâmes enfin la moitié de l'ordre du jour et eûmes à nous prononcer sur une autorisation à donner au Maire à ester en justice
Cette proposition fait suite au recours d'Obélix Grandchamp contre les deux révisions du PLU relatives au quartier du Brouaz et dont nous t'avons longuement parlé tout au long de l'été pour te convaincre du bien fondé de l'action du maraîcher que je soutiens activement malgré les menaces d'ici ou de là.
Tout au long de l'été, je t'ai parlé de tout, enfin presque, je t'ai renvoyé vers des liens internet pour te démontrer le bien fondé de l'action du maraîcher, j'ai publié presque tous les documents en ma possession (correspondances de Pierre, de la Mairie, de la chambre de l'agriculture, ...),.... SAUF UN, le fameux Relevé de conclusions de la Commission du pôle Aménagement & Économie du 18 novembre 2010 relatif au dossier du Brouaz, qui nous a valu un grand moment de comédie dramatique avec dans les principaux rôles : le Maire, l'adjoint en charge de la densification et un vermiceau, avocat de la Ville pendant plus de 30 ans, aujourd'hui membre de "l'opposition" (chercher l'erreur!!!!!) au centre de Fan Pierrot Laurel et Foué Hardy, atteint "d'anosognosie".
Dans le cadre de la Révision Simplifiée du Plan Local d'Urbanisme, la Ville d'Annemasse avait demandé à la Chambre d'Agriculture de Haute-Savoie, un diagnostic de l'agriculture communale sur le secteur du Brouaz.
Le 18 novembre 2010, les commissaires de la Commission du Pôle Aménagement et Économie sont donc convoqués pour entendre la présentation de mise à jour du diagnostic agricole au brouaz (en présence de la chambre d'Agriculture) ainsi que celle de l'AEU (Approche Environnementale d'urbanisme) au Brouaz (en présence de Monsieur DETURCHE, tu sais l'architecte en charge du projet de la petite mosquée dans la prairie).
Après avoir réclamé à de nombreuses reprises le compte-rendu de cette commission non seulement auprès des services de la Mairie mais aussi auprès du Directeur de Cabinet du Maire, j'obtiens enfin le document par mail quelques mois plus tard.
Ce document nous dépeint le Brouaz et notamment l'espace tant convoité par certains élus sous un autre angle et compromet directement la position et la parole de certains élus par rapport à leurs déclarations officielles ou encore par leur silence.
Ainsi, au titre d'informations, Monsieur ALCAIX de la chambre d'Agriculture nous a présenté la mise à jour du diagnostic agricole au Brouaz :
"De l'état des lieux effectué par la chambre de l'agriculture, il ressort que seule une exploitation est présente. Elle se situe en milieu urbain, au cœur du quartier d'habitations et d'équipements du Brouaz. Il s'agit d'une exploitation sous forme individuelle en productions maraîchères et plantes aromatiques. Elle compte entre 10 et 15 employés en majorité permanents et exploite 4,6 ha de terrain. Il s'agit d'une exploitation pérenne dont le site du "Brouaz" est important car au cœur du système de production. Il abrite le siège d'exploitation et surtout sur le site d'implantation des bâtiments, des serres et des surfaces de plein champ irriguées. Avec un point de vente sur place et des ventes à destination de la Suisse voisine, cette exploitation labellisée SwissGap et installée en zone franche, dégage une valeur ajoutée importante et offre une large gamme de produits.
En terme d'enjeux, les terres exploitées sont peu nombreuses. Les serres dominent et semblent a priori plus adapté à un environnement urbain. Ce potentiel agricole est très fortement menacé par la pression foncière et une expansion urbaine croissante, notamment par le biais de la construction d'équipements.
Monsieur ALCAIX rappelle que de façon générale, l'agriculture est au cœur de la pression foncière qui mène à considérer les espaces agricoles comme des réserves foncières en vue de projets d'aménagements jugés plus rentables ou plus urgents que la production agricole.
Cette consommation extensive d'espaces fait peser une lourde menace sur l'activité agricole.
Dans le cas d'Annemasse, les enjeux sont liés à la pression urbaine, importante au sein même de l'agglomération genevoise. L'agriculture est une partie intégrante de la ville. Il convient de l'intégrer dans le tissu existant pour assurer l'équilibre entre espaces agricoles et urbanisation.
Mais, bien que restreinte spatialement, ses productions n'en sont pas moins fortement valorisées.
L'entreprise est créatrice d'emplois et de richesses sur le territoire. De même, sa production est, en partie valorisée pour une consommation de proximité du lieu de production, pour les clients consommateurs. Cette caractéristique offre une valeur ajoutée au territoire. En outre, elle permet le maintien d'un espace ouvert stable et offrant un paysage valorisant pour le territoire.
Intégrée au sein de la ville et de ses interactions, ce type d'agriculture valorise le territoire et est à préserver le plus possible de la pression urbaine. En outre, il crée des ouvertures paysagères intéressantes, en plein cœur urbain.
Au delà de ces aspects économiques et paysager, l'agriculture urbaine participe pleinement à la formation et à la continuité dans le temps de l'identité territoriale et culturelle de la commune. Par la production de produits de qualité, elle permet de véhiculer et de promouvoir l'image des terroirs. Ce rôle contribue à façonner les terroirs et attribue aux agriculteurs une place essentielle dans la formation de l'identité collective et territoriale, d'autant qu'ils sont bien souvent, par leur enracinement, les garants de la mémoire collective. Ils assurent ainsi le lien inter-générationnel, ce qui les place également dans la dynamique du concept de développement durable.
Dans le cadre de la Révision Simplifiées de son document d'urbanisme, la commune d'Annemasse devra donc s'attacher à articuler l'urbanisation du secteur du "Brouaz, le plus possible avec la présence de l'exploitation et avec la préservation de ses surfaces vitales en zone franche pour assurer la pérennité de son activité au moins pour les 10 années à venir.
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M. ALCAIX conclut en rappelant qu'il s'agit de la dernière exploitation présente à Annemasse disposant d'une bonne orientation sur le tènement cultivé. Elle est intégrée au tissu urbain et devra composer, prochainement avec l'arrivée de la clinique côté sud. La préservation du site d'exploitation est indispensable à la survie de cette exploitation, présente en cœur de ville. Elle contribue à aérer l'espace au sein d'un tissu urbain dense à la transmission patrimoniale en évoquant le passé maraîcher du secteur.
Son maintien doit être observé avec la plus grande attention.
A l'issue de cette présentation qui a plus que le mérite d'être claire et à laquelle j'adhère totalement ce qui a justifié mes votes CONTRE lors des conseils municipaux relatif aux deux révisions simplifiées du PLU pour le Brouaz mais également CONTRE l'autorisation au Maire d'ester en justice, 3 réactions ont suivi :
- celle d'un conseiller municipal qui se dit de l'opposition et atteint depuis le 13 septembre d'anosognosie (bein oui le pauvre malheureux s'est écrié en pleine séance ne pas me connaitre alors qu'il figurait juste derrière moi en 3ème position sur la liste" Pour Annemasse lors des élections municipales). Sa réaction n'est que pure spéculation lorsqu'il déclare que cette exploitation est condamnée et va d'ailleurs à l'encontre de la présentation faite par la Chambre d'Agriculture.
- celle d'un conseiller municipal de la majorité pleine de bon sens (dommage Bernard que tu n'ai pas confirmer en fin de course lors des votes du 21 avril et du 13 septembre en t'abstenant par exemple ) qui se dit "partisan de la préservation de cet espace non construit qui pourrait paraître contradictoire de la loi SRU".
- et enfin celle de l'adjoint au bétonnage et à la densification qui décidément est loin des grandes déclarations faîtes lors des Conseils Municipaux des 30 septembre 2010 et 21 avril 2011.
Cet adjoint stipule donc "prendre acte des éléments exposés et informe le représentant de la chambre que la ville avait déjà entrepris une réflexion en ce sens et l'a acté dans son projet de révision du PLU sur ce secteur en prescrivant le mitage de l'espace et en insistant sur la définition d'une zone naturelle.
Par ailleurs, il est rappelé que si un projet d'urbanisation devait voir le jour sur ce secteur, il relèverait de l'initiative privée, si tant est que les "copropriétaires" des terrains trouvent un accord entre eux. L'adjoint au cours de la commission et il l'est écrit ainsi dans le compte rendu "insiste sur le fait que la Ville n'a pas l'intention d'exproprier qui que ce soit. Un changement de zonage en zone naturelle n'a pas, en tout état de cause, d'effet direct sur la cessation d'une activité agricole. Nous sommes bien en conséquence sur des sujets distincts"
Et voilà comment on prend un adjoint en flagrant délit de mensonge.
Tu te demandes pourquoi????????
Un schéma valant mille fois mieux que de longues explications, constate par toi même :
Le Brouaz avant les 2 révisions Le Brouaz près les 2 révisions
1er Point : Tu l'auras remarqué il n'y a plus aucune trace de l'activité agricole et maraîchère sur le secteur donc le changement de zonage en zone naturelle aura, en tout état de cause, un effet direct sur la cessation de l'activité agricole de Monsieur Grandchamp.
2ème Point : Il me semble par ailleurs Monsieur l'adjoint à l'urbanisme qu'un des terrains situé sur la partie nord est un terrain municipal classé en zone AU avant les révisions et loué à Monsieur GRANDCHAMP et, que ce même terrain se trouve donc suite à la révision du PLU en zone UC et par conséquent en zone constructible. Il me semble également qu'il y a un projet d'urbanisation pour ce terrain municipal, non????????
Enfin nous aurons largement le temps de revenir bientôt sur ce dossier brûlant.
3ème : Pourquoi utilisez-vous le conditionnel en évoquant un projet d'urbanisation sur ce secteur alors que vous n'êtes pas sans savoir que depuis le lancement de vos révisions et donc le déclassement des zones, notre maraîcher n'a de cesse de recevoir la visite de promoteurs immobiliers toujours en quête de nouveau terrain et prêt à faire signer un compromis de vente qui correspondrait en tout point aux recommandations de la Ville.
Ce mardi 13 septembre à l'heure d'exprimer des observations et de voter, là encore je fus surprise de voir :
- non seulement toute l'Opposition à voter POUR autoriser le Maire à ester en justice alors qu'au mois d'avril, après avoir tous voté pour le 30 septembre 2010, tout ce beau monde s'était abstenu lors de l'approbation des révisions n°1 et 2 du PLU. Leur abstention paraissait quelque incompréhensible alors que le vermiceau en Commission en Pôle Aménagement et Economie avait "jugé la présentation séduisante".
Tiens je te laisse continuer à lire la présentation de l'archi et la déclaration du vermiceau :
- mais aussi que le vermiceau de l'Opposition alors, que lors du Conseil Municipal du 08 décembre dans le cadre d'une autorisation à ester en justice il s'était étonné du choix du Cabinet (Tentaculaire et hégémonique) d'avocats FIDAL, basé à LYON alors qu'il y a 120 avocats inscrits au barreau de Thonon dont une cinquantaine à Annemasse, ne prononça pas un mot pour connaître "les raisons d'un tel choix dans cette affaire".
Ce mardi 13 septembre, je fus également fort surprise de ne pas entendre le conseiller municipal de la majorité, présent lors de la commission, confirmer ses propos et je les reprends une nouvelle fois : "je suis partisan de la préservation de cet espace non construit qui pourrait paraître contradictoire de la loi SRU" et manifester sa désapprobation au moins par une abstention.
Ce mardi 13 septembre tout comme le 21 avril dernier, je fus surprise de ne pas entendre l'adjoint en charge de l'Agenda 21 parler comme il l'avait fait lors du Conseil Municipal du 28 octobre 2010 lors de la mise en place et l'exploitation d'un rucher communal et la mise en place d'un verger communal. Il aurait parfaitement pu reprendre son discours en remplaçant abeille par exploitation maraîchère et le caler sur la présentation faîte par le représentant de la Chambre d'Agriculture lors de la commission du 18 novembre. Ainsi nous aurions pu entendre :
L'exploitation maraîchère est intégrée à l'espace urbain. L'agriculture est une partie intégrante.
Intégrée au sein de la ville et de ses interactions, ce type d'agriculture valorise le territoire et est à préserver le plus possible de la pression urbaine. En outre, il crée des ouvertures paysagères intéressantes, en plein cœur urbain.
En outre, elle permet le maintien d'un espace ouvert stable et offrant un paysage valorisant pour le territoire.
Il convient de l'intégrer dans le tissu existant pour assurer l'équilibre entre espaces agricoles et urbanisation.
Au delà de ces aspects économiques et paysager, l'agriculture urbaine participe pleinement à la formation et à la continuité dans le temps de l'identité territoriale et culturelle de la commune. Par la production de produits de qualité, elle permet de véhiculer et de promouvoir l'image des terroirs. Ce rôle contribue à façonner les terroirs et attribue aux agriculteurs une place essentielle dans la formation de l'identité collective et territoriale, d'autant qu'ils sont bien souvent, par leur enracinement, les garants de la mémoire collective.
Ils assurent ainsi le lien inter-générationnel, ce qui les place également dans la dynamique du concept de développement durable.
MAIS, il est certain qu'il aurait été difficile, voir impossible de faire de la propagande avec les produits de l'exploitation maraîchère comme c'est le cas avec le miel que produira les abeilles sponsorisées, miel qui sera mis en pot et remis à la Ville, ou plutôt à son Maire qui "pourra l'utiliser notamment comme produit "promotionnel" (comprends de propagande) puisque les pots de 250 gr seront aux couleurs de la Ville.
Ce mardi 13 septembre, je fus surprise de ne pas entendre la première moitié de notre duo comique d'Opposant municipal en la personne de Fan-Pierrot Laurel qui aurait pu reprendre ses propos lors du Conseil Municipal du 30 septembre 2010 et trouver dans le maintien de l'activité maraîchère « comme un obstacle à la tendance chez nous des logements et en Suisse des espaces verts », De plus est, à la différence du dossier relatif au verger communal, l'activité maraîchère est privée et ne fait l'objet d'aucun «sponsor municipal».
Un fois de plus votre vote sur ce dossier de révisions simplifiées du PLU comme votre manque de remarque ( hormis une boutade à l'encontre du vermiceau) sont incompréhensibles. Que dire lorsque le 30 septembre vous votez POUR le lancement des révisions 1 et 2, que vous vous abstenez ensuite le 21 avril lors de l'approbation de celles-ci et que le 13 septembre lorsqu'une action en justice est intentée en vue de demander l'annulation de ces deux révisions vous votiez POUR, si ce n'est une totale incohérence!!!!!
Ce mardi 13 septembre, je fus surprise qu'à la lecture du point 12, l'adjoint à l'urbanisme et accessoirement directeur d'école méprisa à ce point une partie de l'Histoire de notre Cité dont découle pourtant un document appelé Traité de Turin régissant les zones franches dont fait partie les terres sur lesquelles l'activité maraîchère s'effectue. Je fus par ailleurs étonnée de ne pas avoir eu droit au même discours que lors du Conseil Municipal du 28 octobre 2010 au cours duquel il vanta, relativement au partenariat avec l'école des Hutins dans la gestion des ruches et du verger communal, « qu'il était très important de raccrocher les enfants à la vérité des choses ».
Le monde du travail privé, Monsieur l'adjoint ne serait-il pas «extrêmement important à vos yeux ???????».
Vous aviez également déclarer que vous vouliez «une ville attractive et qu'une ville attractive passe par de beaux espaces publics et de beaux espaces verts ». Vous n'êtes pas sans savoir que l'entretien d'espaces verts publics a un coût financier non négligeable pour une commune. Avec le maintien de l'exploitation maraîchère et agricole, le coût relatif à l'entretien est nul pour pour la ville. De plus avec les saisons, les plantations non seulement dans les serres mais aussi dans les terrains sont variées et belles.
Pourquoi vouloir à ce point la mort de cette zone maraîchère ??????
Ce mardi 13 septembre, je fus surprise qu'à la lecture du point 12, l'adjointe en charge du travail ne pas intervenir énergiquement (ah mais c'est vrai elle était très fatiguée) pour défendre la grosse dizaine d'emplois qui travaille dans cette activité maraîchère alors que quelques minutes plus tard, elle allait nous demander d'approuver une convention de coopération à intervenir entre la Ville d'Annemasse et Pôle Emploi pour l'organisation de la manifestation « 1 semaine pour 1 emploi » du 10 au 14 octobre. Hé vu le taux de chômage à Annemasse, t'as plutôt intérêt à te dépêcher car en fait la manifestation ne dure que 5 jours et il n'est proposé qu' 1 emploi. J'aurais aimé qu'elle reprenne à son compte les propos de M, ALCAIX de la Chambre d'Agriculture : « L'entreprise est créatrice d'emplois et de richesses sur le territoire. » mais aussi ceux-ci au titre d'ajointe au charge de l'économie, du commerce et du FISAC : « De même, sa production est, en partie valorisée pour une consommation de proximité du lieu de production, pour les clients consommateurs. Cette caractéristique offre une valeur ajoutée au territoire.»
Ce mardi 13 septembre, je fus surprise qu'à la lecture du point 12, l'autre moitié du duo d'opposant de comique représentée en la personne de Foué HARDY ne pas acter sa décision de l'été selon laquelle il allait prendre une position plus neutre. Mais il est vrai qu'il aurait eu du mal à justifier un tel vote alors que son nouveau compagnon de route le vermiceau avait préalablement fait l'éloge de la nouvelle image du Brouaz suite à la présentation de l'architecte.
Ce mardi 13 septembre, je fus surprise qu'à la lecture du point 12, enfin le Maire n'eut que des propos menaçant à mon égard à moins que la diffusion du fameux relevé de Conclusion du Pôle Aménagement et Economie ne laisse transparaître un double langage de la part de certains membres de votre équipe municipale.
Décidément comme disait le Général :
"Délibérer est le fait de plusieurs, Agir est le fait d'un seul"