Présidentielles : Nicolas SARKOZY est LE candidat du Peuple de France alors que François Hollande est le candidat d'un clan ! Le 06 Mai, JE VOTE POUR NICOLAS SARKOZY !!!!!!!!!
François Hollande est sans ambigüité sur le droit de vote des étrangers : « J’accorderai le droit de vote aux élections locales aux étrangers résidant légalement en France depuis 5 ans » (Proposition 50 de son programme).
François Hollande en a même fait l’une de ses priorités, puisqu’elle figure dans les mesures qu’il compte faire voter durant son éventuelle première année de mandat.
Depuis longtemps déjà, la gauche s’est fixé comme objectif d'accorder aux étrangers le droit de vote, en commençant par les élections locales.
En 1988, Mitterrand avait appelé de ses vœux l’octroi du droit de vote à tous les étrangers.
On se souvient que le M.I.L, Mouvement Initiative et Liberté, avait mené une grande campagne et plusieurs pétitions en 1988, en 1989 Et en 2010 auprès des Français contre ce principe et avait obtenu gain de cause.
C’est un sujet qui est d'une particulière gravité, et sur lequel nous ne pouvons faire aucune concession.
L'article 3 de notre Constitution est clair : « La souveraineté nationale appartient au peuple, qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. (…) Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques ». Sont donc électeurs seulement les nationaux français : c’est évident et c’est le bon sens même.
Comment imaginer que des étrangers, fussent-ils installés en France depuis un certain temps, puissent accéder au droit de vote sans au préalable avoir acquis la nationalité française ?
Quel pourrait être le degré d'implication de quelqu’un qui a acquis la nationalité française, parfois sans le vouloir, alors qu'il n'a même pas la connaissance de l'histoire de notre pays, des traditions de notre pays, de la législation de notre pays et des usages de notre pays ? La France a toujours accepté d’accueillir des étrangers à condition qu’ils manifestent une réelle volonté de s'assimiler.
Pour préserver notre citoyenneté, nous avons le devoir de réserver strictement l'acquisition de la nationalité française à ceux ont la volonté de s’assimiler, qui respectent nos lois et nos coutumes et qui partagent nos valeurs.
L’intention du constituant de 1958 de lier droit de vote et nationalité ne fait aucun doute. En effet être français implique des devoirs qui ont pour corollaire notamment le droit de vote.
Avec Nicolas SARKOZY, nous disons catégoriquement NON au projet socialiste !!!!!
Notre refus ne présente aucun caractère d'ordre racial, et encore moins raciste. Nous savons que des hommes et des femmes de toutes origines, de toutes races sont des citoyens français à part entière pleinement intégrés à la communauté nationale, qui contribuent à la prospérité et au rayonnement de la France.
Mais nous disons aussi que dans toutes les élections publiques, quel qu'en soit le niveau, le droit de vote doit être réservé aux citoyens français.
ÊTRE FRANÇAIS,
CE N’EST PAS SIMPLEMENT PAYER DES IMPÔTS
Le raisonnement de la gauche partisane du droit de vote aujourd'hui est alors simple : si les étrangers sont soumis à l'impôt, il faut leur accorder en contrepartie le droit de vote.
Non seulement cet argument ne tient pas, mais en plus, il est d'une extrême perversité.
S’il est vrai qu’un certain nombre d'étrangers payent des impôts, certains aussi bénéficient du RSA, des allocations familiales et autres aides. Le solde n’est sûrement pas en faveur de ceux que l'on croit. Donc lier le droit de vote au paiement d'un impôt est un argument sans aucune valeur.
De même, lier le droit de vote à l'impôt revient à réintroduire dans notre droit l’idée du suffrage censitaire.
Voilà la grande avancée sociale des socialistes au XXIème siècle : faire un bond quasiment de deux siècles en arrière en réintroduisant le suffrage censitaire.
Si le critère d’octroi du droit de vote consiste dans le paiement de l'impôt et non plus dans la détention de la nationalité française, il faudra en effet accorder le droit de vote à certains étrangers, mais ne faudrait-il pas aussi le retirer à certains de nos concitoyens ? Cette conséquence est intellectuellement perverse et totalement inacceptable.
Cet argument purement économique, fondé sur le paiement de l’impôt, est hors de propos. On n’achète pas en payant un impôt le droit de participer à la souveraineté française comme on achète en payant un droit de douane l’autorisation d’introduire en France une marchandise étrangère.
On pourrait objecter qu’il y a une exception au principe général du droit de vote : c’est pour les ressortissants européens qui peuvent voter aux municipales et européennes.
Il faut reconnaître que, dans la Communauté européenne, le droit de vote est réciproque et que les pays qui la composent ont en commun, dans une certaine mesure, une civilisation et une histoire. En tout cas, cette extension limitée du droit de vote est une frontière que nous ne saurions en aucun cas franchir.
UN CALCUL CYNIQUE DE LA GAUCHE
Ne nous leurrons pas : si en 2012 la gauche était élue, on peut être assuré qu’elle accorderait progressivement aux étrangers résidant en France le droit d’être électeurs et éligibles à toutes les élections, locales et nationales.
D’ailleurs, d’ores et déjà, les élections locales sont aussi des élections nationales puisqu’elles sont à la source du processus d’élection des sénateurs.
Au-delà de l’atteinte qu’elle porte à un principe essentielle, la gauche vise aussi un objectif cyniquement électoraliste.
Accorder le droit de vote aux étrangers, c’est une façon d’acheter leurs suffrages, c’est un moyen de déséquilibrer fortement et durablement le corps électoral français, donc de cadenasser les élections à venir en assurant pour longtemps à la gauche une majorité automatique.
Être CITOYEN FRANCAIS c'est prendre en charge l'héritage d'une civilisation et d'une histoire et se sentir responsable du destin de notre pays dans les bons et les mauvais jours.
Être CITOYEN FRANCAIS, avec ses droits et ses devoirs, c'est un tout qui ne se divise pas.
Être CITOYEN FRANCAIS a une signification pleine et entière.
Être CITOYEN FRANCAIS donne le droit de vote, il en est ainsi depuis la Révolution française de 1789.
Cette proposition démagogique du Parti Socialiste est donc un mauvais coup porté à la République Française, à sa Constitution et à sa tradition. Comment imaginer que la principale différence entre un citoyen français et un étranger disparaisse ?
Nous sommes déterminés à préserver scrupuleusement la tradition républicaine.
C’est pourquoi, nous sommes déterminés et resterons opposé au droit de vote et d'éligibilité des étrangers.
Accorder le droit de vote des étrangers c’est :
> une imposture idéologique . Parce que ce n’est pas un moyen d’intégrer les étrangers que de dissocier la nationalité du droit de vote et qu'il s'agit en réalité d'une obsession récurrente du parti socialiste.
> une démarche anachronique. Parce que ce n’est pas la priorité de nos compatriotes, ni une revendication exprimée par les étrangers en France, et que le contexte actuel impose des urgences sociales et économiques.
> une absurdité symbolique. Parce qu’accorder un nouveau droit aux étrangers est un mauvais signal alors que notre société traverse une crise identitaire.
> une manœuvre électoraliste. Parce que la gauche ne parle plus à l’électorat populaire, elle cherche à se constituer un nouveau bataillon d’électeurs.
Avec le PS, le droit de vote devient automatique au bout de 5 ans de résidence sur le territoire national.
Avec le PS, le droit de vote sera accordé aux étrangers n’ayant même pas fait le choix de devenir Français.
La Vérité, c'est que François HOLLANDE veut donner le droit de vote aux étrangers pour s'attirer le vote communautaire.
Ce scénario est écrit sans ambigüité , dans un rapport de Terra Nova, think tank du PS ("Gauche: quelle majorité électorale pour 2012?" mai 2011), où il est recommandé aux socialistes d'abandonner l'électorat ouvrier pour récupérer celui des "minorités", en particulier les Français d'origine étrangère et les étrangers...
Le risque de vote communautariste est très clair et toutes les conditions seraient réunies pour soumettre les maires à la pression de demandes communautaristes, comme les horaires réservés aux femmes dans les piscines ou les menus religieux dans les écoles, ce que nous ne pouvons accepter !
Pour une France Forte,
LE 06 MAI
LE SEUL BULLETIN A DEPOSER DANS L'URNE,
C'EST CELUI DE NICOLAS SARKOZY !