Législatives : Le Combat continue contre les SOCIALO-COMMUNISTES !

Publié le par Anne Michel

combat-contre-les-socialo-communistes.jpgNous appelons tous les Français à se mobiliser et à voter pour les candidats UMP au 2ème tour des législatives en général, et pour Virginie Duby Muller pour la 4ème Circonscription de la Haute-Savoie.


Nous lançons cet appel à tous les Français sans exception, loin de tout marchandage électoral entre partis.

 

 

Aucun Français n’est méprisable du fait de son vote. C’est pour cela que nous parlons à tous les Français, y compris à ceux qui ont choisi de voter pour un candidat du FN au premier tour.

 

 

Nous leur disons que nous comprenons leurs préoccupations.

 

 

Les Français qui ont voté FN au 1er tour doivent être conscients s'abstenir au second tour c’est prendre le risque de faire gagner la gauche, c’est-à-dire l’inverse de ce qu’ils veulent pour leur pays, notamment sur 6 points que porte le projet de François Hollande :


- la dévalorisation du travail avec un matraquage sans précédent des classes moyennes (l’assistanat qui paye autant que le travail, l’augmentation des cotisations sociales des salariés, des employeurs et des indépendants, la taxation des heures supplémentaires, le rétablissement des droits de succession) ;

 

- les délocalisations (avec la hausse du coût du travail) ; la perte de souveraineté de notre pays (avec le refus de maîtriser la dette, ce qui nous rend dépendant des marchés financiers ; avec l’anéantissement du nucléaire socle de notre indépendance énergétique ; avec la fragilisation de la PAC, socle de notre indépendance alimentaire ; avec la baisse de notre budget de la défense…) ;


- le retour du laxisme et de la culture de l’excuse (Madame Taubira a annoncé la fin des tribunaux correctionnels pour mineurs récidivistes ; les récépissés obligatoires pour les contrôles de police ; le débat sur la dépénalisation du cannabis ; la fin des peines-plancher…) ;


- le communautarisme : avec le droit de vote des étrangers, la régularisation massive des clandestins ;


- la fragilisation de la famille : avec la remise en cause du quotient familial.

 

 

Virginie Duby Muller, candidate du Rassemblement de la Droite et du Centre porte ses valeurs et s'engage à les défendre à l'Assemblée Nationale.

 

 

Regarde plutôt son tract du 2ème tour :

 

Tract A5 2-721x1024

 

 

Au cours de cette campagne du 2nd tour, les candidats du PS sont bien mal placés pour jouer les redresseurs de torts.

 

En effet, subir des leçons de morale de la part d'un représentant d'un parti politique, parti qui s’allie sans vergogne avec l’extrême gauche, le Front de gauche, qui n’a rien à envier dans l’extrémisme au FN c’est tout proprement inacceptable.

 

A l'issue de la liste non exhaustive des déclarations et propos tenus par M Mélenchon, que tu trouveras ci dessous, tu auras vite compris le danger auquel tu t'exposes et auquel tu exposes la France si les repésentants du Front de Gauche ou de leurs amis du Parti Socialistes obtiennent la majorité é l'Assemblée Nationale.

 

 

 

Ainsi, Jean-Luc Mélenchon choisit comme bouc-émissaire les « riches » auxquels il faut « faire les poches » (19 avril 2012 - TV5 Monde : « I am very dangerous. J'ai vraiment l'intention de vous faire les poches ».) Sa rhétorique est d’une grande violence : « Il faut taper, taper, taper. Et taper encore.» « Qu’ils s’en aillent tous » (Paris Match 14 avril 2012) !

 


Jean-Luc Mélenchon traite les journalistes de « chiens » (Paris Match 14 avril 2012).

Dans un documentaire diffusé le 8 octobre 2010, il traite David Pujadas de « salaud », de « larbin! », en novembre 2010, il traite Laurence Ferrari de « perruche »…La Société des journalistes de L’Express a condamné en mai dernier les dérapages inacceptables de Jean-Luc Mélenchon, le qualifiant de « petit procureur stalinien » qui « les 23 et 26 mai, en pleine campagne électorale dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais, s’en est pris à l’envoyé spécial de L’Express en le traitant de « sale petit espion » et en qualifiant l’hebdomadaire de « journal fasciste ».

 

 

Jean-Luc Mélenchon et le Front de Gauche flirtent avec l’antisémitisme.
Dernier exemple en date, le Front de gauche a investi et soutenu René Balme, maire de Grigny dans le Rhône, alors qu’il a créé et anime le site Oulala.net, notoirement connu pour son contenu antisémite : on y trouve par exemple des textes comme «Dire aux juifs leurs quatre vérités » écrit par l’auteur britannique Paul Eisen qui s’est illustré par des propos négationnistes ; on peut y lire des articles faisant la promotion du dernier film de Dieudonné « L’Antisémite », réalisé avec des fonds iraniens ; ou tout simplement des articles à la gloire de l’Iran et des thèses expliquant que les attentats du 11 septembre sont un complot judéo-américain…
Alors que le site d’information rue 89 a révélé ces faits avant l’élection, le front de gauche a décidé de maintenir son investiture à René Balme dans la 11ème circonscription du Rhône où il a obtenu 8,25% des voix !

 

Jean-Luc Mélenchon faisait partie d’une manifestation contre la guerre à Gaza le 10 janvier 2009 à Paris, où il y avait des banderoles «Israël assassin».

Quand on participe à une manifestation qui porte de tels slogans, soit on les désavoue officiellement, ce que n’a pas fait Jean-Luc Mélenchon, soit cela veut dire qu’on les cautionne.

 

 

Jean-Luc Mélenchon et le Front de gauche ont relayé un appel contre la crise de l’artiste grec Mikis Theodorakis qui a déclaré le 4 novembre 2003 : « (les juifs) ont le fanatisme et la connaissance de soi et ont réussi à s'imposer (...)

Aujourd'hui, nous pouvons dire que ce petit peuple est à la racine du mal ». Le 3 février 2011, dans un entretien donné à la chaine de télévision grecque HIGH, Míkis Theodorakis a déclaré qu’il était « antisémite et antisioniste » « Tout ce qui arrive aujourd’hui dans le monde a à voir avec les sionistes » « Les Juifs américains sont derrière la crise économique mondiale qui touche aussi la Grèce ».

Dans un communiqué de presse daté du 19 juin 2011 Mélenchon assurait « Avec Mikis Théodorakis ! » : « Je relaie l’appel lancé à l’initiative de Mikis Théodorakis. ».

Le Front de Gauche a publié sur son site le 20 février 2012 une interview de Theodorakis parue le 19 février 2012 dans l’Athens news.

Le Front de Gauche cite Théodorakis dans une de ses lettres aux adhérents (mail daté du 16 février 2012) et met en exergue un lien qui renvoie vers le site personnel de Théodorakis.

 

 

 

Jean-Luc Mélenchon est un admirateur de Cuba qui n’est pour lui « pas une dictature » (France Inter, 5 janvier 2011) et ne renie pas les symboles du communisme de triste mémoire : drapeau rouge et internationale !

 

Le 15 décembre 2010, le parlement européen réuni à Strasbourg remettait le prix Sakharov des droits de l’homme au dissident cubain Guillermo Farinas (qui était retenu à Cuba).

Jean-Luc Mélenchon a osé quitter l’hémicycle pour protester contre la remise de ce prix en expliquant « Le Parlement européen est embrigadé dans des croisades anticommunistes qui m'exaspèrent. »

 

 

Le 5 janvier 2011 dans le Monde diplomatique, dans un vocabulaire qui rappelle l’aveuglement qui a longtemps existé par rapport à l’URSS, Mélenchon écrivait : « Je félicite Cuba, sa résistance et les contributions qu’elle a faites à la science, à la culture, au sport et à l’histoire universelle. »

 

Mélenchon est un adepte du négationnisme lorsqu’il s’agit des crimes commis dans les régimes communistes.

Il a ainsi déclaré le 6 mars dernier à Rouen : « Les communistes n’ont pas de sang sur les mains.»

 

 

 

Alors tu as lu !!!!!

C'est tout simplement consternant !!!!


 

 

 

 Alors le 17 juin,

Pour éviter la politique du Pire à la Nation Française,

Choisissons la France,

Votons pour les Représentants de la France Forte,

Votons massivement Virginie Duby Muller!



Publié dans politique régionale

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
P
<br /> Je viens de lire le MESSAGER,<br /> <br /> <br /> J'interdit pour commencer a toutes personnes se reclamant de la majorité municipale,acolytes,sympatisants ou autres idiots utiles collabos de cette mouvance de mettre les pieds sur mon<br /> exploitation,ces gens sont des malfaisants que je combattrais juqu'au dernier,je ne laisserais pas ce terrain et ce n'est certainement pas la derniere récolte comme l'écrit mr Gallard,je vous en<br /> fait le pari ici.<br /> <br /> <br /> Une telle haine contre un agriculteur est digne des pires moments des crapules staliniennes dont ils sont les dignes descendants.<br /> <br /> <br /> Pierre.<br />
Répondre
P
<br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Salut ANNE,<br /> <br /> <br /> Voilà pour changer de SOLJENITSYNE,trés grand écrivain et resistant,peu moins connu BORIS VASILIEV ancien prisonnier des camps des goulags raconte dans un livre qu'il n'a pas le droit de<br /> mourrir tant qu'il n'aura pas dévoilé les crimes commis par les communistes :<br /> <br /> <br /> "STALINE M'A VOLE MON ENFANCE"<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> En Moldavie, M. Vasiliev multiplie les conférences pour dénoncer les méfaits du communisme. Il veut que le monde entier connaisse l'histoire de sa déportation et des cruautés qu'il a vues. De<br /> passage à Hamilton, en Ontario, pour livrer une conférence à une communauté roumaine, il tente de partager ce qu'il estime être le premier livre à dénoncer les excès communistes se reposant sur<br /> des documents jusque-là gardés secrets.<br /> <br /> <br /> Il en profite aussi pour visiter son fils et sa famille, qui ont adopté Québec il y a huit ans afin d'assurer l'avenir de leurs enfants. La petite-fille de Boris, Anastasia, une mannequin<br /> connue au Québec pour son passage dans la téléréalité Occupation double, traduit la rencontre avec le battant de 79 ans.<br /> <br /> <br /> Boris Vasiliev est bien déterminé à lever le voile sur ce «génocide qui a fait 60 millions de morts». «Je ne veux pas que ce soit seulement les nazis qui soient vus comme des criminels, mais<br /> aussi les communistes.» Les deux situations se comparent, estime-t-il. Il espère encore que les responsables soient punis.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Comme ceux qui dénonçaient les dérapages du communisme ont été pendant longtemps emprisonnés, il a longtemps dû taire son histoire et se fait aujourd'hui un devoir de la faire connaître. Même<br /> s'il s'exprime publiquement depuis nombre d'années, c'est depuis 1990 qu'il peut se raconter sans crainte de représailles.<br /> <br /> <br /> Sa petite-fille Anastasia explique pour sa part qu'à l'époque où elle étudiait en Moldavie, «les écoles ne parlaient jamais des méfaits du communisme. Mais moi, je sais, parce que mon<br /> grand-père m'en parle depuis que je suis toute petite. Je sais qu'est-ce qui s'est passé. C'est un grand batailleur, donc moi, je savais», dit-elle, emplie de fierté. Le livre de son grand-père<br /> est maintenant étudié dans certaines écoles.<br /> <br /> <br /> Train vers la Sibérie<br /> <br /> <br /> L'histoire de Boris Vasiliev l'amena bien malgré lui, à l'âge de neuf ans, dans un train pour la Sibérie. «Mon père avait huit hectares de terre et était identifié comme un homme riche»,<br /> explique M. Vasiliev. Il était aussi maire de son village et possédait des bêtes dont il ne voulait se départir. Refusant de céder ses avoirs à la communauté, la famille de M. Vasiliev a ainsi<br /> été déportée près du cercle polaire, dans des conditions misérables, en juin 1941. Environ 20 % de la population était déportée. Une proportion similaire était tuée. On les compte par centaines<br /> de milliers. Son père fit partie du deuxième groupe.<br /> <br /> <br /> «Les communistes déportaient les gens dans la nuit», explique-t-il en roumain. Pendant le trajet jusque dans les camps du nord, le train conçu pour le transport du bétail s'arrêtait<br /> périodiquement pour faire embarquer d'autres déportés, et pour qu'on sorte les corps des gens qui avaient succombé aux conditions difficiles.<br /> <br /> <br /> En plus d'une alimentation se résumant souvent à quelques bouchées de pain chaque jour, l'homme forcé au travail dès 12 ans a dû vivre dans le froid de la Sibérie sans les vêtements appropriés.<br /> Sans connaître la langue, non plus. Les prisonniers étaient vus comme des ennemis de la population locale et la haine envers eux était encouragée.<br /> <br /> <br /> Boris Vasiliev raconte le jour où deux personnes ont tenté de s'évader. Capturées, elles ont été emmenées au centre d'un groupe de déportés pour être livrés à des chiens affamés, sous les yeux<br /> horrifiés de tous. De retour en Moldavie, en 1946, M. Vasiliev retrouva son pays en famine. Des hommes si faibles qu'ils n'avaient pas la force d'enterrer les leurs. Des cas de cannibalisme,<br /> même. Un non-sens pour un pays où l'agriculture est importante. Les vivres étaient exportés.<br /> <br /> <br /> Plus tard, pour parvenir à étudier, Boris Vasiliev a dû cacher son histoire. Dans les années 80, devenu professeur d'éducation physique, c'est au moment où il devait recevoir une distinction<br /> qu'il a été découvert. «Quand ils ont découvert qu'il était le fils d'un "ennemi de la population", comme ils les appelaient, il n'a pas été décoré», raconte son fils Veaceslav. Le professeur<br /> aura plutôt été démis de ses fonctions.<br /> <br /> <br /> Pour élaborer son livre, «j'ai ramassé beaucoup de documents sur moi et ma famille, que j'ai volés au KGB», confie-t-il. Une centaine de documents auxquels il a accédé grâce à la complicité<br /> d'un membre des services secrets et qu'on retrouve dans son livre. «Le général avait un grand coeur et savait mon histoire. Il voulait qu'à travers moi, le public sache la vérité», explique<br /> Boris Vasiliev.<br /> <br /> <br /> Il a dû cacher les documents pendant cinq ans dans des pots, enfouis sous la terre. Mais la parution de Staline a volé mon enfance, l'an dernier, a libéré M. Vasiliev<br /> d'un lourd fardeau. «Le livre, c'est comme une sécurité, pour moi. Maintenant qu'il a été publié et que les gens l'ont lu, si demain je suis tué, ils sauront que c'est le KGB.»<br /> <br /> <br /> Staline, un «monstre»<br /> <br /> <br /> «Criminel! Bandit! Un homme sans foi... Un monstre!», s'emballe Boris Vasiliev lorsqu'on lui parle de Joseph Staline, le dictateur qui a dirigé la destinée du Parti communiste de l'Union<br /> soviétique. «Tout le monde avait peur de Staline. Même sa famille!»<br /> <br /> <br /> En plus de la crainte qu'il semait, la propagande communiste aura réussi à en convaincre plus d'un. «Ils m'ont menti assez que je pensais qu'on était la meilleure nation», se désole son fils<br /> Veaceslav.<br /> <br /> <br /> Boris Vasiliev traduit présentement son livre du roumain au russe. Il souhaite aussi sa traduction en anglais et en français. En Moldavie, on le trouve maintenant dans les bibliothèques, et son<br /> auteur souhaite que les jeunes le lisent et se dissocient du choix du communisme qu'ont fait leurs grands-parents.<br /> <br />
Répondre
Y
<br /> Bon réquisitoire contre ces adeptes des régimes les plus sanguinaires de cette planéte,mais vous avez oublié un nom dans ce billet celui DU MAIRE D'ANNEMASSE QUI A AUSSI APPARTENU A CETTE<br /> MOUVANCE de tabanés,pas de quoi etre fier et c'est pourquoi voter CONTRE ces representants est VITALE POUR NOTRE LIBERTE.<br /> <br /> <br /> "STALINE L'HOMME QUE NOUS AIMONS LE PLUS" Titrait le journal l'humanité,tout un programme.......<br /> <br /> <br /> -----VOTER VIRGINIE C'EST PROTEGER NOS LIBERTES-------<br /> <br /> <br /> YVAN.<br />
Répondre