Annemasse : Le quotidien Le Dauphiné Libéré relate la séance du Conseil Municipal du 18 avril dernier
Conseil Municipal :La place du Jumelage sera balayée par trois nouvelles caméras à dôme
Extrait d'article sur ce point ainsi que les repères sur les quelques points relevés par le journaliste:
Toutefois, un bémol à cet article. Il n'y a donc pas eu de ma part comme écrit dans la Presse des "votes successifs et unanimes...."
Il est utile de préciser et ce dans un souci de transparence à l'égard des Citoyens d'Annemasse, que j'ai, à nouveau, voté CONTRE le point 12 Place de la Libération - Approbation de la convention de mise à disposition d'un local commercial (annule et remplace la convention approuvée en séance du 28 mars 2013)
Je n'ai non plus voté le point 7 portant sur les subventions ax Syndicats.
Au moment du vote, je me suis rappelée l'Excellent Discours prononcé par Nicolas SARKOZY, le 1er mai sur l'Esplanade du Trocadéro à Paris et surtout de cette phrase qui restera à jamais ancrée dans ma mémoire :
"Le drapeau rouge, c'est le drapeau d'un parti.
Le drapeau tricolore, c'est le drapeau de la France.
Nous choisirons toujours ceux qui préfèrent la France à leur parti"!
Je me suis souvenue quand il fustigeait "cette Gauche des syndicats qui a troqué la recherche de progrès pour les travailleurs pour des raisons idéologiques de lutte de classes ; contre cette Gauche qui veut le pouvoir alors qu’elle n’a que le drapeau rouge des communistes à la main quand tous les autres autour du Président SARKOZY arborent fièrement le drapeau tricolore.
Je me suis encore souvenue lorsque Nicolas SARKOZY s'adressa aux Syndicats :
"Je dis aux syndicats: laissez de côté les partis. Votre rôle n'est pas de défendre une idéologue, votre rôle est de défendre les salariés et le travail. Dans la République, ce ne sont pas les syndicats qui gouvernent, c'est le gouvernement". Et s'il y a des blocages, "on donne la parole au peuple, c'est cela la démocratie".
Je me suis souvenue lorsque Nicolas SARKOZY parla du "dialogue social, absolument indispensable.
"Tout le monde a quelque chose à apprendre" du dialogue, disait-il, voulant réfléchir à de nouvelles manières de négocier. "Pour faire face, la France doit être soudée, unie, rassemblée. Je le dis aux syndicats: posez le drapeau rouge et servez la France"
"Vous avez appauvri les travailleurs en prétendant les protéger". "Nous sommes les héritiers de ceux qui ont lutté pour les droits.
Nous sommes le peuple de France et nous assumons l'histoire de France dans sa globalité". Sauf les 35 heures et la retraite à 60 ans aussi, qui ruine la France.
"Je n'ai pas entendu dans ces cortèges la voix de Léon Blum, de Zola, je n'ai entendu que des slogans politiques".
"Je veux le dire à tous ceux qui nous contestent le droit de se rassembler aujourd'hui, nous nous considérons comme les héritiers de ceux qui ont réclamé le droit de grève"
"Le drapeau rouge, c'est le drapeau d'un parti. Le drapeau tricolore, c'est le drapeau de la France. Nous choisirons toujours ceux qui préfèrent la France à leur parti", dit Nicolas Sarkozy.
"Nous assumons toutes les sensibilités de la France. Il n'y a pas un peuple de droite et un peuple de gauche"
Je me suis souvenue lorsque Nicolas SARKOZY cita Lamartine, qui parla du drapeau tricolore "qui a fait le tour du monde", et le drapeau rouge, "qui a baigné dans le sang".
Je me suis souvenue lorsque Nicolas SARKOZY comparait les deux cortèges :
"Regardez les cortèges. Ils ont choisi de défiler avec des drapeaux rouge.
On a choisi de se rassembler sous le drapeau tricolore"
Je me suis rappelée Nicolas SARKOZY citant le Général de Gaulle "La masse immense que je vois là, prouve aux insulteurs que rien n'est perdu pour la France".
Il est un constat et celui-ci se révèlera encore avec la politique de Hollando-Ayrault :
La gauche a toujours trahi les syndicats.
La droite les a souvent combattu mais elle les respecte.
Nous choisirons toujours ceux qui préfèrent la France à leur parti"!
Ensemble Réussissons Annemasse!