"Je suis fière d'être Gaulliste"
"Il n'y a qu'une fatalité, celle des peuples qui n'ont plus assez de forces pour se tenir debout et qui se couchent pour mourir".
"Le destin d'une nation se gagne chaque jour
contre les causes internes et externes de destruction".
La droite civique, gaulliste et patriote
Pourquoi ai-je rejoint le MIL et ai-je solennellement déclaré "Je suis fière d'être Gaulliste ?
Le MIL défend des valeurs que je soutiens et défends depuis mon engagement en politique et qui animent mon travail quotidien d'Elue de Droite.
Pour moi "les valeurs civiques sont fondamentales".
L'engagement civique au MIL "est au service d'une certaine idée de la société. Une société qui est autre chose qu'un agrégat précaire repose sur quelques principes qui procèdent d'une certaine idée de l'homme et de ses rapports avec la collectivité."
Le premier de ces principes : la primauté de la personne.
"Dans une société vivante et libre, l'organisation sociale repose sur le citoyen considéré comme une personne autonome et responsable.
Cette idée s'oppose absolument au collectivisme sous toutes ses formes, que ce soit la forme dure du communisme, la forme plus molle du socialisme ou la forme insidieuse de la social-démocratie : dans tous les cas, il s'agit de réduire l'individu à l'état d'irresponsable assisté.
C'est de ce principe essentiel que découlent ce qu'on appelle les droits de l'homme, expression souvent galvaudée et gauchie qu'il vaudrait mieux remplacer par "droits de la personne".
Au nombre des ces droits figure l'exercice des libertés auxquelles on pense spontanément(liberté de conscience, d'expression, d'enseignement, de déplacement, etc) mais aussi le droit de propriété qui fournit à chacun le droit de propriété qui fournit chacun les moyens prartiques de sa liberté personnelle contre les empiètements toujours menaçants de la collectivité.
Autre conséquence essentielle découlant de la primauté de la personne : la nature du régime économique, qui doit être fondé sur la libre entreprise et l'initiative personnelle.
Le second principe : Liberté, Responsabilité et Devoir
La liberté de l'individu n'est pas le caprice. Elle est réglée par la loi et, surtout elle doit être équilibrée en chacun de nous par la conscience de notre responsabilité personnelle.
Nous avons à répondre de nos actes et de nos propos et nous devons en accepter les conséquences et les sanctions, positives ou négatives.
Sanctions négatives : elles vont du simple échec à la répression des crimes et des délits. C'est une illusion de croire que la prévention peut régler tous les problèmes.
On ne peut pas faire l'économie d'une répression, certes équilibrée, mais surtout d'une fermeté sans faiblesse. Le développement de la violence depuis plusieurs années est devenu un phénomème social d'une telle ampleur que cette rigueur dans la répression est que jamais d'actualité.
Sanctions positives : ce sont toutes les formes de réussite qui sont dues au mérite, c'est-à-dire à la fois aux aptitudes et au travail. Contrairement à ce qui se passe dans les régimes d'inspiration socialiste, la réussite individuelle ne doit pas être considérée comme un objet de jalousie ou d'envie ni à offrir à la collectivité un prétexte pour s'en approprier abusivement les fruits.
La réussite individuelle doit au contraire être encouragée parce qu'elle est un moteur essentiel de la société et qu'elle se fait finalement au bénéfice de tous.
Dans une société civilisée, les relations entre ses membres supposent l'existence de règles du jeu fondées, entre autres, sur l'honnêteté, le respect des engagements, l'honneur, etc..., c'est-à-dire sur des valeurs morales traditionnelles.
En prendre conscience, c'est reconnaître que nous n'avons pas seulement des droits mais aussi des devoirs.
Le troisième principe : La cohésion de la société.
"L'individu libre et autonome ne doit pas se fondre dans le magma d'une humanité indifférenciée. Il a besoin de s'intégrer à des structures intermédiaires, dont les plus essentielles sont pour nous la famille et la nation.
La Nation est en France une réalité historique essentielle, une patrie incarnée dans une culture et une langue qui sont parmi les plus riches du monde.
Il n'appartient à personne de lui faire subir une mutation essentielle pour la transformer en un régime hétérogène, "multiculturel", juxtaposant des communautés massives, très éloignées de notre tradition et refusant d'adopter le mode de vie national.
Pour que la nation soit solide et cohérente, il faut, surtout dans la tradition française, maintenir l'existence d'un Etat fort.
Certes, l'Etat ne doit pas intervenir en dehors de son domaine, en particulier pour prendre la place des entreprises privées, mais il doit remplir ses attributions propres : garantir l'identité nationale, défendre l'intégrité du pays, assurer la sûreté de personnes et des biens".
"L'Avenir de la France n'est pas écrit dans les astres. Il n'est pas dans les mains de nos adversaires ou de nos amis.
Il ne dépend que de nous, de notre travail, de notre colonté de notre aptitude à nous dépasser."
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